top of page

« La première mention de l’excision remonte au règne des Ptolémées […] au IIe siècle avant notre ère, des papyrus en témoignant. »

 

Françoise Couchard, "L’excision", page 15. Éditions PUF, Que sais-je? 2003

 

L’excision, est-elle une réalité culturelle « africaine »? Absolument pas! Or la fameuse « communauté internationale » ainsi que ses diverses institutions ont réussi à inscrire dans l’imaginaire collectif, surtout dans celui des « Africains » eux-mêmes, la fausse idée selon laquelle les mutilations génitales féminines feraient partie de la Tradition « Africaine », alors qu’il n’en est absolument rien!

 

Notre ouvrage démontre de façon remarquable l’origine (le berceau) eurasiatique de l’excision sous toutes ses formes possibles et son introduction en « Afrique » par les Eurasiatiques : les Juifs, les Arabes, les Européens, les Asiatiques.

 

C’est dans cette mesure que le premier chapitre dudit manuel s’attarde à exposer les origines et les sources sémites et indo-européennes des mutilations génitales féminines qui sont une réalité (pratique) culturelle et rituelle eurasiatique. Aussi, il est pris le soin de montrer comment les Eurasiatiques, durant les différentes Déportations des « Africains » et Occupations de l’ « Afrique », ont imposé l’excision sous toutes ses formes aux « Africains », contaminant de ce fait certaines de leurs cultures.

 

Le second chapitre explique pourquoi les Eurasiatiques excisent, mutilent leurs femmes : celles-ci étaient ni plus ni moins considérées comme des animaux, des êtres inférieurs à l’homme (sexe masculin) dans la croyance populaire.

 

Dans le troisième et dernier chapitre, l’auteur démontre l’inexistence des mutilations génitales féminines dans la Tradition « Africaine », des origines à nos jours, joignant à son argumentation diverses preuves scientifiques, historiques et culturelles.

L’Excision, aux sources d’une longue tradition et coutume eurasiatique

38,00C$Prix
  • Amouna Ngouonimba

bottom of page